mercredi 20 avril 2011

voilà l'été!

Bon, vous vus êtes quand même rendu compte que c'est le retour des beaux jours (selon la formule consacrée). La température de l'eau monte gentiment, de façon inversement proportionnelle avec la taille des poompoom short des bimbo qui occupent le sables, nos esprit, et les nuits de quelques uns. Bref les sessions sont de plus en plus agréables.

Mais est ce vraiment le cas?

Non, car un bande de dangereux primitifs, appelés surfeurs, vient vous emmerder, vous, alors que le mort de faim que vous êtes à attendu tout l'hiver, dans le froid, la barre au crâne, les gants et la cagoule, ces premières sessions d'un bonheur innommable.

 Du coup l'intrusion d'un autre (OH MON DIEU NON! UN AUTRE!!!!) sur votre vague déclenche en vous des pulsions meurtrières au moins aussi incontrôlables que celles de Guy Georges.

Que faire, Seigneur que faire?

Ou vous commencez à vous la jouer hot local
"je suis chez moi ici, et je me suis pas mis à l'eau pour me faire emmerder", avec le couteau entre les dents (attention à ne pas avaler de travers), l'allure spartiate, le vocabulaire de télé-réalité (vas te faire foutre sale enculer!).

Ou vous essayer d'éviter le monde, de faire contre mauvaise fortune bon coeur, et vous essayer aussi, de vous rappeler que sur terre il y a des mecs qui se battent pour manger, pour leur liberté, pour nourrir leurs gosses, et que vous, dans votre intelligence supérieur de surfeur trop cool, pourri gâter, qui êtes fan du hippie Machado, que vous ne ferrez JAMAIS de carrière de professionnel, vous allez vous battre pour une vague?

En gros, et pour synthétiser car tout le monde ne comprend pas toujours le second degré dans notre merveilleux monde du surf, le prochain que je vois en train de jouer le local à 2 sous, et à se fritter pour moins d'1mn de kiffe complètement superflu, je lui emplâtre la gueule, son dentiste m'enverra des chocolats pour Noël.

On a déjà une réputation de crétin, si en plus on la confirme...

vendredi 1 avril 2011

5 bien haut!

Le surf, c'est pas facile, houlala non!
Et d'ailleurs on voit bien que pour beaucoup, ça demande une implication totale, un effort complet, une préparation athlétique et une concentration olympienne.

Et puis il y a Kelly, Dane et quelques autres, pour qui le maniement du planchon en mousse est juste une évidence.
C4était le cas d'Andy.
Alors on va laisser les pleures et les larmes à toutes les hoes qui "aurais aimer te rencontrer. Tu nous manques tellement..." et on va juste envoyer un "BANGING!!!".

La dernière petite part d'Andy dans la fameuse vidéo de Transworld: High Five.

Bon... bah... voilà quoi, un monstre, c'est tout.
et arrêtez de chialer, c'est vraiment pathétique.