Bon, vous vus êtes quand même rendu compte que c'est le retour des beaux jours (selon la formule consacrée). La température de l'eau monte gentiment, de façon inversement proportionnelle avec la taille des poompoom short des bimbo qui occupent le sables, nos esprit, et les nuits de quelques uns. Bref les sessions sont de plus en plus agréables.
Mais est ce vraiment le cas?
Non, car un bande de dangereux primitifs, appelés surfeurs, vient vous emmerder, vous, alors que le mort de faim que vous êtes à attendu tout l'hiver, dans le froid, la barre au crâne, les gants et la cagoule, ces premières sessions d'un bonheur innommable.
Du coup l'intrusion d'un autre (OH MON DIEU NON! UN AUTRE!!!!) sur votre vague déclenche en vous des pulsions meurtrières au moins aussi incontrôlables que celles de Guy Georges.
Que faire, Seigneur que faire?
Ou vous commencez à vous la jouer hot local
"je suis chez moi ici, et je me suis pas mis à l'eau pour me faire emmerder", avec le couteau entre les dents (attention à ne pas avaler de travers), l'allure spartiate, le vocabulaire de télé-réalité (vas te faire foutre sale enculer!).
Ou vous essayer d'éviter le monde, de faire contre mauvaise fortune bon coeur, et vous essayer aussi, de vous rappeler que sur terre il y a des mecs qui se battent pour manger, pour leur liberté, pour nourrir leurs gosses, et que vous, dans votre intelligence supérieur de surfeur trop cool, pourri gâter, qui êtes fan du hippie Machado, que vous ne ferrez JAMAIS de carrière de professionnel, vous allez vous battre pour une vague?
En gros, et pour synthétiser car tout le monde ne comprend pas toujours le second degré dans notre merveilleux monde du surf, le prochain que je vois en train de jouer le local à 2 sous, et à se fritter pour moins d'1mn de kiffe complètement superflu, je lui emplâtre la gueule, son dentiste m'enverra des chocolats pour Noël.
On a déjà une réputation de crétin, si en plus on la confirme...
mercredi 20 avril 2011
vendredi 1 avril 2011
5 bien haut!
Le surf, c'est pas facile, houlala non!
Et d'ailleurs on voit bien que pour beaucoup, ça demande une implication totale, un effort complet, une préparation athlétique et une concentration olympienne.
Et puis il y a Kelly, Dane et quelques autres, pour qui le maniement du planchon en mousse est juste une évidence.
C4était le cas d'Andy.
Alors on va laisser les pleures et les larmes à toutes les hoes qui "aurais aimer te rencontrer. Tu nous manques tellement..." et on va juste envoyer un "BANGING!!!".
La dernière petite part d'Andy dans la fameuse vidéo de Transworld: High Five.
Bon... bah... voilà quoi, un monstre, c'est tout.
et arrêtez de chialer, c'est vraiment pathétique.
Et d'ailleurs on voit bien que pour beaucoup, ça demande une implication totale, un effort complet, une préparation athlétique et une concentration olympienne.
Et puis il y a Kelly, Dane et quelques autres, pour qui le maniement du planchon en mousse est juste une évidence.
C4était le cas d'Andy.
Alors on va laisser les pleures et les larmes à toutes les hoes qui "aurais aimer te rencontrer. Tu nous manques tellement..." et on va juste envoyer un "BANGING!!!".
La dernière petite part d'Andy dans la fameuse vidéo de Transworld: High Five.
Bon... bah... voilà quoi, un monstre, c'est tout.
et arrêtez de chialer, c'est vraiment pathétique.
mardi 22 février 2011
Quiksilver est elle toujours une marque de surf?
Tiens, quelle question étrange...
Vous vous dites dans un premier temps que l'auteur de cette question ne sait pas quoi faire de son temps pour se poser une question aussi con. Et là dessus, vous avez raison.
C'est en cherchant à tuer le temps, coincé dans des bouchons un vendredi soir, que j'ai laissé mon esprit se promener, au gré des parois accidentées de mon cerveau pas tout à fait sobre.
Mais voilà, je suis tombé, comme ça, comme on tombe sur un clip de Rhianna, sur un pub de la dernière campagne Quik, et je me suis demandé si leur concept de pub "studio" n'était pas, tout simplement, ce que les psychologues appellent un acte manqué.
Quik est présent depuis presque toujours dans le monde du surf, et l'a entraîné sur la voie du mainstream et de la vente de masse. Amenant avec elle, l'ASP, les surfeurs, qui maintenant se font appeler "athlètes", sans aucune pitié pour les fondateurs du sport, les journalistes spécialisés qui disent amen à tout ce que le géant a décidé, et même nous, médiocres pratiquants, qui nous extasions devant les campagnes de communication du monstre, comme une jeune vierge devant un membre en érection.
Alors voilà essayons d'analyser, avec un point de vue tout à fait subjectif, si la marque au "Best" gros logo rouge dégueulasse, a encore quelque chose à voir avec le surf.
Attention, journalisme d'opinion (je préfère prévenir, parce qu'apparemment vous n'êtes pas habitué).
Oui, le team est là pour le prouver
Kelly, Dane, Jeremy, Tiago, Gilmore... Tout ce qui ce fait de mieux dans le surf fait part du team, ou du moins, ils essaient d'intégrer les meilleurs. Du coup quand on voit les feuilles de match, on se dit qu'une comp' world tour sans le team Quik, c'est un peu comme un Noël sans cadeau. Et puis avec l'historique qu'a créé Kelly, c'est clair que niveau histoire du surf, on ne peut pas dire grand chose.
Non, le team achète l'image.
Ok, c'est le rôle d'un team de permettre au service communication de travailler l'image de la marque, et pas seulement chez Quik, chez tout le monde. Par contre, quand on observe la stratégie de construction de team de Quik qui est à peu près celle d'un ogre qui va passer à table, on se demande si le surf les intéressent encore, ou juste les tableaux de résultats. Même Dane le dit "je suis là pour faire des thunes que je peux réinvestir dans des projets qui m'intéressent plus".
Oui, il font progresser la technologie des wetsuits.
Quik à une division R&D plutôt performante, et on doit le dire, les wetsuits qu'ils produisent, même s'ils sont esthétiquement d'un goût approximatif (mais hé, on est dans le surf, il faut plaire à la cible), sont quand même de qualité, et font avancer le bazar.
Non, leur vrai cible, c'est les grandes surfaces de sport, et le pimpim urbain.
Le pognon est en ville, c'est un fait, mais enfin, de là à se tourner uniquement vers le bordelais, le toulousain ou le parisien... Comme ça, pour info, il y a un "Boardrider" à Rouen, Normandistan. Oui Madame...
Toutes le boites on besoin de ronds, et on ne peut pas nécessairement compter que sur les pratiquants, mais de là à ne plus compter sur eux que pour le technique...
Non, c'est une société cotée en bourse qui cherche à rémunérer ses actionnaires.
Et non, c'est pas la seule dans ce cas, mais les fluctuations récentes qu'a connu la grosse vague, démontrent que l'intérêt premier de la boite n'est pas, et de loin, de nous proposer des produits cool, ou de faire avancer la culture surf. L'intérêt n#1, c'est l'actionnaire. Dans un monde parfait, les filles feraient des cacas papillon, et le leader de l'industrie du surf essaierait d'élargir le spectre du surf, et pas d'en faire un truc de grande surface.
Non, ils ont fait du surf un sport comme la formule 1 ou le tennis.
Aujourd'hui les surfeurs sont comme des athlètes, des sportifs froids et préparés. Rien qu'à voir, personne ne veut qu'on dise la vérité sur la mort (et la vie) d'Andy. Et quand on dit de lui que c'était une rockstar, les institutions du surf (financée par Quik, et les autres, comme l'ONU est financée par les US et le reste du monde) veulent bien , mais pas trop. Quand Jérémy se met sur la gueule avec un con, ce qui est une histoire à la con de baston de plage, comme il y en a partout, ça tourne en mode tension diplomatique. Quik (et les autres à sa suite) a besoin d'un sport "propre", et transforme une pratique, qui par définition devrait être organique et ingérable, en patinage artistique.
En fait, on ne sait pas. Nous chez Smoking Hot Barrels, on aime pas trop Quiksilver. Parce qu'on aime pas les fringues, pas l'image, pas l'orientation, pas les décisions stratégiques, et parce que ça ne nous parle pas. Par contre, il est évident que le surf à besoin de Quik pour continuer son développement et s'étendre. Mais s'il était juste possible de ne pas trop dénaturer le truc, histoire de ne pas complètement céder aux sirène de mega dollar...
Enfin, espérons que des petits projets core continuerons à voir le jour et à grignoter des parts au géant, pendant que celui ci continuera de se goinfrer dans le mainstream.
Vous vous dites dans un premier temps que l'auteur de cette question ne sait pas quoi faire de son temps pour se poser une question aussi con. Et là dessus, vous avez raison.
C'est en cherchant à tuer le temps, coincé dans des bouchons un vendredi soir, que j'ai laissé mon esprit se promener, au gré des parois accidentées de mon cerveau pas tout à fait sobre.
Mais voilà, je suis tombé, comme ça, comme on tombe sur un clip de Rhianna, sur un pub de la dernière campagne Quik, et je me suis demandé si leur concept de pub "studio" n'était pas, tout simplement, ce que les psychologues appellent un acte manqué.
Quik est présent depuis presque toujours dans le monde du surf, et l'a entraîné sur la voie du mainstream et de la vente de masse. Amenant avec elle, l'ASP, les surfeurs, qui maintenant se font appeler "athlètes", sans aucune pitié pour les fondateurs du sport, les journalistes spécialisés qui disent amen à tout ce que le géant a décidé, et même nous, médiocres pratiquants, qui nous extasions devant les campagnes de communication du monstre, comme une jeune vierge devant un membre en érection.
Alors voilà essayons d'analyser, avec un point de vue tout à fait subjectif, si la marque au "Best" gros logo rouge dégueulasse, a encore quelque chose à voir avec le surf.
Attention, journalisme d'opinion (je préfère prévenir, parce qu'apparemment vous n'êtes pas habitué).
Oui, le team est là pour le prouver
Kelly, Dane, Jeremy, Tiago, Gilmore... Tout ce qui ce fait de mieux dans le surf fait part du team, ou du moins, ils essaient d'intégrer les meilleurs. Du coup quand on voit les feuilles de match, on se dit qu'une comp' world tour sans le team Quik, c'est un peu comme un Noël sans cadeau. Et puis avec l'historique qu'a créé Kelly, c'est clair que niveau histoire du surf, on ne peut pas dire grand chose.
Non, le team achète l'image.
Ok, c'est le rôle d'un team de permettre au service communication de travailler l'image de la marque, et pas seulement chez Quik, chez tout le monde. Par contre, quand on observe la stratégie de construction de team de Quik qui est à peu près celle d'un ogre qui va passer à table, on se demande si le surf les intéressent encore, ou juste les tableaux de résultats. Même Dane le dit "je suis là pour faire des thunes que je peux réinvestir dans des projets qui m'intéressent plus".
Oui, il font progresser la technologie des wetsuits.
Quik à une division R&D plutôt performante, et on doit le dire, les wetsuits qu'ils produisent, même s'ils sont esthétiquement d'un goût approximatif (mais hé, on est dans le surf, il faut plaire à la cible), sont quand même de qualité, et font avancer le bazar.
Non, leur vrai cible, c'est les grandes surfaces de sport, et le pimpim urbain.
Le pognon est en ville, c'est un fait, mais enfin, de là à se tourner uniquement vers le bordelais, le toulousain ou le parisien... Comme ça, pour info, il y a un "Boardrider" à Rouen, Normandistan. Oui Madame...
Toutes le boites on besoin de ronds, et on ne peut pas nécessairement compter que sur les pratiquants, mais de là à ne plus compter sur eux que pour le technique...
Non, c'est une société cotée en bourse qui cherche à rémunérer ses actionnaires.
Et non, c'est pas la seule dans ce cas, mais les fluctuations récentes qu'a connu la grosse vague, démontrent que l'intérêt premier de la boite n'est pas, et de loin, de nous proposer des produits cool, ou de faire avancer la culture surf. L'intérêt n#1, c'est l'actionnaire. Dans un monde parfait, les filles feraient des cacas papillon, et le leader de l'industrie du surf essaierait d'élargir le spectre du surf, et pas d'en faire un truc de grande surface.
Oui, le monde du surf vit plus aux crochets de la boite.
Pas de Quik, pas de mag, pas de vidéo, pas de tour... Quik est la plus grosse boite du secteur, mais aussi le plus gros contributeur. Mais du coup ils se prennent peut être un peu trop pour Dieu le père dans le bizz, vous ne trouvez pas?
Non, ils ont fait du surf un sport comme la formule 1 ou le tennis.
Aujourd'hui les surfeurs sont comme des athlètes, des sportifs froids et préparés. Rien qu'à voir, personne ne veut qu'on dise la vérité sur la mort (et la vie) d'Andy. Et quand on dit de lui que c'était une rockstar, les institutions du surf (financée par Quik, et les autres, comme l'ONU est financée par les US et le reste du monde) veulent bien , mais pas trop. Quand Jérémy se met sur la gueule avec un con, ce qui est une histoire à la con de baston de plage, comme il y en a partout, ça tourne en mode tension diplomatique. Quik (et les autres à sa suite) a besoin d'un sport "propre", et transforme une pratique, qui par définition devrait être organique et ingérable, en patinage artistique.
En fait, on ne sait pas. Nous chez Smoking Hot Barrels, on aime pas trop Quiksilver. Parce qu'on aime pas les fringues, pas l'image, pas l'orientation, pas les décisions stratégiques, et parce que ça ne nous parle pas. Par contre, il est évident que le surf à besoin de Quik pour continuer son développement et s'étendre. Mais s'il était juste possible de ne pas trop dénaturer le truc, histoire de ne pas complètement céder aux sirène de mega dollar...
Enfin, espérons que des petits projets core continuerons à voir le jour et à grignoter des parts au géant, pendant que celui ci continuera de se goinfrer dans le mainstream.
jeudi 3 février 2011
Breaking News!!! Compagnon chez Madness, Sniper et Ari'Nui!
A l'heure qu'il est l'info doit être officielle:
Frédéric Compagnon AKA Fred Compagnon AKA Compa Aka Gnongnon AKA Geo trouve tout AKA waterman vient de signer chez Hoff, et du coup retourne chez son premier sponsor. Le célèbre distributeur, créateur de marques de glisse signe par là même son retour sur le devant de la scène des sports rigolos qu'on fait dans les vagues.
Le waterman le plus célèbre de France doit partir pendant quelques jours (1 mois ou 2) à Bali pour aller shooter du surf, de l'Alaïa, du S.U.P., du body... Enfin tout ce qui glisse sur de l'eau.
Par ailleurs, après avoir expérimenter le truc, si jamais vous faites du M et que vous êtes à la recherche de vieilles pièces cultes Circa, Santa Cruz, etc, on ne serait que trop vous conseiller de passer à l'Outlet Hoff, à Bayonne. Il y a du bordel, parmi lesquelles quelques petites perles. Et puis le tôlier est drôle, alors n'hésitez pas à engager la conversation (sinon c'est lui qui la lancera...).
Voilà vous en savez au moins autant que nous.
Et n'oubliez pas que le surf, c'est fait pour rigoler.
vendredi 21 janvier 2011
Attention publi-reportage engagé.
Le saviez vous?
Des bretons ont reussi à faire de a bière à partir d'eau de mer.
C'est un peu la meilleure nouvelle du monde. Et ouai, 70% de la planète est recouverte par des océans ou des mers. Du coup, potentiellement, on sera mort de faim avant de manquer de bière. Et ça, c'est quand même une bonne nouvelle.
L'autre bonne nouvelle, c'est qu'aujourd'hui, on ne va pas trop trasher. On va juste, rapidement, rappeler que Tiago ne se serait pas forcément cassé de chez Billa de la façon la plus classe du monde. Mais surtout qu'avec ce transfert, et celui de Stephanie Gilmore, Quiksilver piétine allègrement le "gentleman agreement" qui existait entre les marques.
Celui qui,gravé dans le pain de mousse, disait, et je cite:
"Viens, on ne se pique pas de surfeurs sous contrat ou historiquement sous contrat".
Comme ils disent chez Quik: "Rien à foutre".
Et comme ils disent maintenant chez les deux autres: "OK, C'EST LA GUERRE!!!"
Parenthèse socio-culturelle faite, et pour en revenir à ces histoires de bière, enfin d'océans, il y a une petite marque de potes qui fait un peu parler d'elle en ce moment, et qui a attiré notre attention: 71% (normalement ça s'écrit en toutes lettres et en anglais, mais vous savez nous, les mots. Et puis de toutes façons vous ne les lisez pas, donc...)
Seventy One Percent donc, c'est une histoire de potes qui ont une opportunité, et qui se lancent dans le milieu, histoire de vivre leur passion.
Leur angle d'attaque: les cosmétiques.
Non, pas le Rimmel, ou les lubrifiants à bites type gloss.
Non, eux ils font ce dont on a besoin quand on va faire les foufous sur un surf en plein été, le torse nu et viril, et qu'on rentre dans l'eau, le pectoral saillant, prêt à aller taxer ces pauvres gars en mini-mal, ou encore quand en hiver, sous notre épaisse armure bonnet-masque-doudoune, on s'en va faire peur aux vacanciers de février: de la crème solaire, de l'energie shot et de l'after surf/snow.
Voilà, t'es plus obligé de ressembler à Freddy quand tu sors de l'eau.
Bref, ces trois mecs font un vrai truc de potes, pas un des nombreux "projets de potes" type Moskova, qui sont, en fait, simplement une réponse à une opportunité décelée par un major.
Du coup, ils vont êtres emmerdés à un moment ou un autre par les trois (pas si ) petits cochons (Billa, Rip et Quik) qui ne devraient pas tarder à se lancer sur ce marché, à grands coups de $$$, une fois qu'ils auront vu qu'il y a un potentiel.
Comme par chez nous on prefère ce qui est core et fait avec le coeur, ont préferera toujours les gars de Seventy One Percent. Et vu qu'ils le disent eux même "on ne fait pas des produits bio, c'est pas encore possible dans les cosmetiques, mais on essaye d'avoir une demarche responsable, de limiter notre impact sur l'environnement et de n'utiliser que des produits qui ne sont pas nocifs pour les utilisateurs", ils n'essayent même pas de nous enfumer...
Des potes qui font leur truc, qui veulent réellement apporter un plus aux pratiquant, et qui sont impliqués jusqu'au coup, c'est pas tout ce qu'on demande?
Allez checker leur site, voir ce qu'on y trouve.
Pour avoir essayer leur power shot, je vous assure que ça met un petit coup de boost, vachement mieux que les Kinder Country à la pause de 11h, et sans la chiasse des Monster ou Redbull.s
vendredi 14 janvier 2011
Kelly doit-il rester sur le World Tour?
Oui: 38 ans, il décroche un 1 ème titre les doigts dans le nez.
Il le voulait, il l'a eu, et un gros chèque en actions Quik' avec ça...
A cours de cette dernière saison, il a prouvé qu'il avait encore toute sa place sur le tour, en éliminant rookies, nouvelles stars et vieux roublard. Le King Kelly règne encore en maître sur le surf de compétition avec une aisance scandaleuse, alors pourquoi s'arrêter.
Non: y en a marre que l'ASP établisse ses critères de jugement en fonction de la volonté du Roi
Depuis une paire d'année, et surtout son projet de Rebel Tour(il y avait pas un nom plus pourri?), l'ASP lui passe tout ces caprices. C'est sur son surf que les juges se basent pour les notations, forcement ça aide à passer des tours.
Oui: c'est la relève qui doit le foutre dehors à coup de pieds au cul.
Jordy, Dane, Mike, Taj... Depuis Andy, il n'a pa réellement trouvé un adversaire à sa mesure.
Cette année, la course avec Jordy aura à peine été palpitante, le sud af' qui doit encore épaissir son vocabulaire de tricks (superman et air reverse, ça va un moment...). Et il était trop révérencieux face à sa majesté.
Mick est beaucoup trop "athlète" et ne malgré un réel talent, il n'est pas dôle en comp'
Taj n'y est pas encore. Depuis le temps qu'il est dans le haut du tableau sans concrétiser, on fini par se poser des questions.
Parko n'a pas de chance, quand il domine les échanges il s'ouvre le talons. Ou trop stressé, il s'épuise et explose avant la fin de saison.
Dane est le seul qui ait la classe et le talent naturel pour succéder à Kelly. Mais il ne finit jamais une comp, il surf trop de vagues. Mais bon, il a déjà sauvé l'ASP.
Avec Jordy, il pourrait redonner un peu d'intérêt à cette vieille organisation qui ratte même sa modernisation.
Oui: c'est le meilleur vendeur de l'industrie du surf.
Kelly, c'est un petit peu le Jordan du surf. Son meilleur VRP, tout le monde (le vrai hein, pas juste vous bande d'ado attardés mono maniaques) connaît Kelly Slater, et d'après une étude qui aurait du être réalisée, Kelly sort en premier quand on demande aux ignares de parler du surf. A lui seul il fait vendre plus de T-shirt que le reste des mecs du World Tour. (alors quand on voit 6.0 signer Wilson pour 5 millions, soit environ 167 000 T shirt à 30€, on rigole...)
L'ASP a besoin de lui, et l'industrie aussi...
Tans que Dane n'aura pas acquis une légitimité auprès du grand public à grand coup de multiples titres mondiaux, on va être en manque d'icône commerciale...
Non: à un moment il faut savoir tirer sa révérence avec classe.
Avec 10 titres mondiaux, il se rapproche des score d'éléction d'une "démocratie" sub saharienne. Avant que les gens ne se posent trop de question, il faudrait savoir désigner un succèsseur (Dane par exemple...) l'adouber et se retirer avec la classe du grand champion qu'il est.
Il est temps. Attention a ne pas devenir le Jeannie Longo du surf non plus...
Non: il représente le surfeur sans style.
Kelly, c'est le surfeur de base. Le mec continue à surfer en shorty (et si ça c'est pas une faute de goût), comme dans les année Pamela.
Sorti de l'eau, il est loin d'avoir un style qui fait vibrer dans les culottes. Depuis quelques années Taj, Dane et quelques autres tire le surf vers autre chose que le traditionnel, et degueulasse, combo sweat à capuche avec logo ovesized et pantalon carré mal coupé.
Il y a une dimension esthétique et charismatique dans le surf, ça serait pas mal d'avoir des icônes qui les incarnes aussi hors de l'eau.
Non, quand on a fini un jeu video 10 fois, on change.
OK, Mario Bros est le meilleur jeu video de tous les temps, mais une fois qu'on l'a fini dans tous les modes (soit environ 10 fois), on en achète un autre.
Là, il n'y a plus d'enjeu, on sait qu'il va gagner. Un passage au snow, au golf ou dans le porno s'impose!
mercredi 5 janvier 2011
Breaking News!!! Tiago chez Quiksilver?
Tiago Pires, le portugais qui aura 30 piges en mars prochain, passerait chezQuiksilver à partir de 2011, pour un contrat qui serait d'une longue durée et de gros budget. Il lâcherait donc Billabong, son sponsor historique.
La marque au logo rouge souhaiterait lancer une offensive, digne de l'invasion US en Irak, sur le marché portugais en s'offrant la super star locale. A 30, le héros portugais s'assure un avenir pré-retraite plutôt confortable.
Rappelons également que le Portugal a une vraie passion pour le surf, une passion qu'on pourrait qualifier de "toute brésilienne". Mais rappelons également, que le salaire minimum portugais en 2010 était de 554 € /mois.
Rappelons également que le Portugal a une vraie passion pour le surf, une passion qu'on pourrait qualifier de "toute brésilienne". Mais rappelons également, que le salaire minimum portugais en 2010 était de 554 € /mois.
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